• Attendu que l’Académie ci-après nommée : ACADÉMIE DES ARTS MARTIAUX MOAN, reconnaît et respecte la primauté du droit canadien et québécois
• Attendu que l’existence de cette Académie est fondée sur le respect des grands principes universels de l’humanité : le respect de la Vie humaine, la sauvegarde de la Paix et la propagation de l’Amour

Toute personne inscrite au sein de cette Académie s’engage en toute connaissance de cause dans sa pratique et ses comportements à adopter et à honorer ce qui suit:

  I.    Respecter notre philosophie humaniste et se conformer scrupuleusement à toutes les règles de discipline au sein de l’Académie dans une optique citoyenne.

 II.   Travailler et s’éduquer quotidiennement en essayant sans cesse d’atteindre la compétence et la perfection dans le respect des lois, des principes éthiques et moraux.

III.    Décliner et renoncer à tout défi de confrontation physique entre collègues ou avec les pratiquants d’une autre École d’arts martiaux, sauf si cela se déroule dans le cadre d’une compétition organisée par les autorités compétentes et sanctionnée par les règles chevaleresques reconnues et approuvées.

IV.  Garder et développer l’ouverture d’esprit en évitant toute discrimination, notamment celles fondées sur la race, la richesse, la religion, le sexe et l’orientation sexuelle.

 V.      Souscrire aux principes d’égalité entre les hommes et les femmes, de fraternité et de solidarité entre les collègues et le reste de communauté humaine.

VI.     Veiller dans la loyauté au respect du Maître et à celui de tous les enseignants de l’Académie et des autres Écoles.

VII. Contribuer à l’épanouissement des siens par le respect de leurs droits et privilèges dans un esprit de dialogue consensuel.

Le Serment d’allégeance du pratiquant est un cadre de référence rédigé et publié par le Docteur Franklin Eyelom, Ph. D., Maître-fondateur de l’Académie MOAN, dans le but de promouvoir une saine pratique de l’art martial chinois dans un contexte contemporain et occidental. Toute autre interprétation ou usage de ce texte au-delà de cette perspective s’éloignerait de l’esprit de l’auteur et n’engagerait que la responsabilité de l’édit du préteur.